Le ciel ne semble pas près de s'éclaircir au-dessus de la famille royale britannique. Depuis l'interview-confessions de Meghan Markle et du prince Harry à Oprah Winfrey le 7 mars dernier, la couronne semblait agiter le drapeau blanc. À commencer par son communiqué, publié deux jours après, qui prenait soin de préciser que le prince Harry, Meghan et leur fils «seront toujours des membres très aimés de la famille». Pourtant, un coup de tonnerre vient de nouveau de retentir. Le 16 mars dernier, sur le plateau de CBS This Morning, la journaliste Gayle King, également rédactrice en chef de O, The Oprah Magazine, a affirmé que «Meghan a des documents pour prouver tout ce qu'elle a dit lors de l'interview à Oprah».

La journaliste, qui affirme s'être entretenue au téléphone avec les Sussex, rapporte également que le prince Harry a eu une conversation avec son père, le prince Charles, et son frère, le prince William. Des échanges qualifiés de «pas productifs» par le duc de Sussex.

La couronne en première ligne

Pour rappel, lors de son entretien avec Oprah Winfrey, Meghan Markle a partagé plusieurs faits grave, visant directement le Palais. La duchesse de Sussex a notamment fait part de ses pensées suicidaires, expliquant qu'elle n'avait reçu aucun soutien de la part du Palais. Elle a également révélé que des «inquiétudes» et des «conversations» avait été soulevées par Buckingham concernant la couleur de peau du petit Archie. Elle a même affirmé que, contrairement à ce que les tabloïds avaient publié, ce n'était pas elle qui avait fait pleurer Kate Middleton, mais bien l'inverse. «Quelques jours avant le mariage, elle était contrariée par un détail concernant les robes des demoiselles d'honneur, et cela m'a fait pleurer. Cela m'a vraiment heurtée», relatait en détails l'ancienne actrice.

En vidéo, pensées suicidaires, racisme : les confidences explosives du prince Harry et de Meghan Markle

L'enquête du Palais

En attendant de savoir si les preuves de Meghan Markle concernant toutes ces accusations seront un jour dévoilées, ce sont des preuves à son encontre qui sont cherchées en ce moment. Buckingham Palace a en effet ouvert une enquête à la suite de la publication du Times, le 3 mars dernier. Le journal américain y relate des accusations de harcèlement formulées par d'anciens employés de Meghan Markle et du prince Harry à Kensington Palace. Le couple aurait été visé par une plainte déposée en octobre 2018, puis retirée, par Jason Knauf, ancien secrétaire dédié à ses communications. L’épouse du prince Harry aurait également, selon des sources anonymes, harcelé deux assistants personnels et sapé la confiance d’un troisième. Certains employés auraient par la suite souffert d’angoisses et de stress post-traumatique.

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